Catégorie : B2B

  • Quand l’IA générative se met au service des marketplaces

    Quand l’IA générative se met au service des marketplaces

    Connaissez-vous l’IA générative ? C’est une branche de l’intelligence artificielle dont le succès ne cesse d’augmenter depuis plusieurs mois, avec l’avènement de certains outils comme ChatGPT, Dall-e ou encore Midjourney.

    Ces outils font beaucoup couler d’encre, avec leur lot de polémiques comme leur lot d’innovations. Il y a fort à parier que l’IA générative vienne disrupter des secteurs jusque-là bien établis. 

    Avec des revenus estimés à 146 milliards d’euros en France (1), le secteur du e-commerce est concerné par cette nouvelle forme d’intelligence artificielle. Dans cet article, nous vous proposons de (re)découvrir le concept de l’IA générative et des fonctionnalités qui pourraient intéresser de nombreux e-commerçants qui souhaitent augmenter leur chiffre d’affaires.

    Qu’est-ce que l’IA générative ?

    L’IA générative (appelée aussi GenAI) est tout simplement une forme (ou un système) d’intelligence artificielle capable de créer du contenu à partir de modèles de données. Ce contenu peut être de différentes formes : textuelle, image, vidéos ou de tout autre média.

    Depuis quelques mois, plusieurs startups ont été mises à l’honneur, tantôt grâce à leur produit innovant, tantôt grâce aux montants stratosphériques des levées de fonds réalisées ou enfin à cause des polémiques qu’elles ont suscitées. C’est le cas des startups :

    • OpenAI, à l’origine de ChatGPT et de Dall-E et ayant levée 175 millions d’euros en mai dernier
    • Midjourney, à l’origine de l’outil éponyme MidJourney
    • Google, à l’origine très récente de Bard devant le succès phénoménal de ChatGPT

    Dans les faits, comment fonctionne l’IA générative ?

    Bravo, vous connaissez désormais la définition de l’IA générative ! Mais dans les faits, savez-vous réellement comment cela fonctionne ? En effet, vous souhaiteriez peut-être la mettre en application dans le cadre professionnel de votre entreprise ou sur un projet bien spécifique ?

    Tout commence par une requête – appelée prompt – qui est formulée par l’internaute à destination de l’IA générative. Afin qu’elle soit la plus performante possible, l’IA est préalablement entrainée et a assimilé d’importants paquets de données.

    Elle se base alors sur cet ensemble de données ainsi que sur des réseaux de neurones artificiels afin de proposer une réponse originale.

    Une adoption massive qui bat tous les records

    L’adoption massive de l’IA générative étonne de nombreux experts dans le monde entier. ChatGPT a par exemple atteint la barre des 100 millions d’utilisateurs en seulement 2 mois. À titre de comparaison, il a fallu 9 mois à TikTok pour atteindre ce même nombre d’utilisateurs et 24 mois pour Instagram.

    Il est clair que plus les consommateurs s’empareront de ces outils et plus les entreprises proposeront des services basés sur l’IA générative.

    Et le e-commerce dans tout ça ?

    En effet, nous y arrivons ! L’intelligence générative a bousculé de nombreux secteurs et promet de formidables avancées technologiques. Le e-commerce est sans nul doute un secteur qui sera touché de près par ces innovations. Nous avons relevé 5 exemples en e-commerce pour lesquels l’utilisation d’une IA générative pourrait être pertinente.

    1. La génération de recommandations de produits

    Parmi les fonctionnalités de l’IA générative qui sont liées aux enjeux du e-commerce et des marketplaces, la génération de recommandations de produits s’avère être la plus prometteuse. 

    En effet, ce type de technologie permet de personnaliser le parcours de navigation de chaque client ou prospect en fonction de ses préférences, préalablement identifiées par les algorithmes. Dans le cadre d’une stratégie de fidélisation client et afin de mieux cerner les habitudes d’achat des consommateurs, l’IA générative peut être un atout différenciant. 

    Les données clients sont au centre des enjeux stratégiques des e-commerçant et malheureusement, nombreux sont qui ne savent pas comment les exploiter pleinement, ou alors ne disposent pas de moyens suffisants pour le faire. De leur côté, les IA sont capables de traiter un très grand nombre de données en peu de temps dans le but d’identifier, par exemple, des tendances sur un type de produit en particulier et le mettre en avant par rapport aux autres. 

    Cependant, le recours à l’IA générative ne doit pas faire oublier les réglementations en vigueur en ce qui concerne le traitement des données personnelles des utilisateurs. Dans l’Union européenne du moins, l’analyse du comportement d’achat en ligne est généralement validée par l’acceptation de la présence de cookies sur le site, et aucune marketplace basée sur l’intelligence artificielle ne peut normalement s’y soustraire. 

    2. La génération des descriptifs produits 

    Les descriptifs de produit sont des contenus au format texte qui ont une importance tant du point de vue de l’expérience de l’utilisateur (UX) que pour le référencement naturel (SEO) de la fiche produit, c’est-à-dire pour garantir sa visibilité dans les résultats des moteurs de recherche.

    Et ce travail peut vite devenir fastidieux lorsqu’on gère un très grand nombre de références.

    Avec l’intelligence artificielle générative, il est désormais possible de produire des contenus en langage naturel à partir de l’analyse des données sur les produits. En effet, ce type de format se prête particulièrement bien à l’IA générative puisqu’il reprend globalement toujours la même structure, composée : 

    • des caractéristiques générales du produit. 
    • de ses avantages. 
    • de ses spécificités. 

    Aussi, en fonction du type de produits commercialisés par le e-commerçant, les composantes d’une description textuelle de produit peuvent être sensiblement les mêmes. Par exemple, un vendeur de meubles et de décoration pour la maison intégrera toujours des données sur les dimensions de ses produits, ce que l’IA est en mesure de comprendre au travers de l’analyse de données

    À titre d’exemple, la plateforme Phrasee est dédiée à la génération de descriptions de produits pour les acteurs du e-commerce et s’appuie sur l’intelligence artificielle générative pour générer des descriptifs produits originaux.

    3. La génération d’images de produits 

    En e-commerce et faute de pouvoir toucher physiquement le produit, les images de produits sont essentielles pour déclencher l’achat. Pour les e-commerçants qui possèdent un très grand nombre de références, la prise de photographies ainsi que l’édition des images peuvent s’avérer très chronophages et représenter un coût important. La génération d’images de produits par une intelligence artificielle générative se présente alors comme une alternative intéressante pour renouveler la présentation de ses produits en ligne.

    Basée sur la technologie de réseaux adversoriels génératifs (GAN), la génération d’images de produits est possible à partir d’images de produits existants, que l’algorithme analyse à répétition jusqu’à être capable de créer un contenu sensiblement similaire. 

    Parmi les outils mobilisables pour générer des images de produits, nous pouvons citer DALL-E 2 évoqué précédemment, une IA générative simple à utiliser qui a déjà conquis le domaine publicitaire et qui tend à investir le secteur du e-commerce. 

    Néanmoins, malgré la performance des plateformes d’IA générative dédiées aux images de produits, cet usage n’est pas encore adapté à tous les types de vendeurs. L’authenticité des images reste un facteur important pour assurer la crédibilité de sa marque auprès de sa clientèle. 

    4. La création d’une relation de proximité avec ses clients

    L’IA générative peut être un formidable outil pour créer une véritable relation de proximité avec ses clients, ce qui fait parfois défaut aux e-commerçants qui n’ont pas le client au téléphone ou tout simplement devant eux.

    Les chatbots (ou agents conversationnels) peuvent assister l’internaute en temps réel, répondre à des questions génériques et ainsi lever les derniers freins à l’achat. Un moyen efficace pour améliorer le taux de conversion de son site e-commerce.

    5. L’amélioration du moteur de recherche interne 

    Les moteurs de recherche des marketplaces sont très utilisés par les internautes. Ces derniers s’attendent donc à obtenir une réponse claire, rapide ainsi qu’une sélection de produits qui correspond à leur intention de recherche première.

    Avec l’IA générative, les moteurs de recherches seront assurément plus performants à l’avenir. Certains géants comme Amazon l’ont bien compris et ont tout intérêt à intégrer ces améliorations directement dans leur application. Aux États-Unis, 56% (2) des recherches de produits démarrent sur la marketplace américaine.

    L’IA générative soulève toutefois de nombreuses polémiques

    Nous ne pouvons pas parler d’Intelligence Artificielle générative sans évoquer quelques points de vigilance. En effet ces outils ont beau être très innovants, notons qu’ils ne remplaceront pas les capacités cognitives de l’être humain, du moins pas à court terme.

    Des informations parfois erronées

    Certaines informations retournées par des IA génératives telles que ChatGPT sont parfois erronées et les systèmes sont toujours en cours d’apprentissage. Nous pensons que l’IA générative peut être un outil complémentaire à l’intelligence humaine mais qu’elle est encore loin de pouvoir la remplacer totalement (et heureusement !). Attention donc aux informations brutes récoltées grâce à ces outils, nous vous recommandons de les vérifier attentivement.

    Que deviennent nos données personnelles ?

    Lorsque nous conversons avec un chatbot en ligne, nous pouvons être amenés à communiquer certaines de nos données personnelles. Ces dernières sont alors collectées et stockées par l’agent conversationnel. Il devient alors difficile de les récupérer si l’on ne souhaite plus qu’elles soient exploitées ou qu’on craint qu’elles soient vendues à des tiers.

    Vous l’aurez compris, l’Intelligence Artificielle générative ouvre le champ des possibles dans de nombreux secteurs, au fur et à mesure que les consommateurs s’en emparent de plus en plus.

    Le e-commerce fait partie des secteurs qui sont déjà touchés et qui le seront encore plus dans les années à venir. 

    Ces IA peuvent être accélératrices de business et offrent des gains de temps non négligeables. Attention toutefois aux limites de ces modèles encore en cours d’apprentissage et qui peuvent parfois délivrer des informations erronées ou incomplètes.

    Sources

    (1) Chiffres clés E-commerce 2023, FEVAD, 2023.
    (2) Amazon veut greffer l’IA générative dans son site e-commerce, Le Monde Informatique, 2023

  • 6 différences entre un site e-commerce et une marketplace

    6 différences entre un site e-commerce et une marketplace

    Vous vous sentez perdu et vous ne comprenez pas les différences entre e-commerce et marketplace ? Pour vous aider à y voir plus clair, IZBERG fait le point sur les 6 principales différences entre un site e-commerce et une marketplace.

    Depuis quelques années déjà, le modèle de marketplace séduit de plus en plus, autant au niveau des vendeurs, des acheteurs ou encore des opérateurs. Ces derniers doivent simultanément attirer de nouveaux vendeurs et fidéliser des clients finaux.

    Côté règlementation, les marketplaces sont soumises à des règles strictes qu’il faut avoir en tête avant de se lancer. Enfin, de nombreux autres aspects varient entre un site ecommerce traditionnel et une marketplace : gestion des stocks, expertises métier, volume de références etc.

    1. Stock et logistique

    La gestion de l’ensemble de la chaine logistique n’est pas la même entre une marketplace et un site ecommerce classique. Tout d’abord du point de vue du nombre de références. 

    Pour qu’un e-commerçant puisse générer des revenus conséquents et assurer sa rentabilité, il doit disposer d’une large profondeur de catalogue : de vastes références, des stocks approvisionnés régulièrement… Ce qui demande un investissement conséquent. De plus, le gérant d’un site marchand doit également être en capacité de gérer la logistique et l’expédition des produits directement au client final.

    La gestion des stocks, le service après-vente, les relations avec les fournisseurs ou encore les inventaires reviennent au gestionnaire du site ecommerce. Quels que soient les canaux de vente choisis pour soutenir son business en ligne, ce dernier doit être en mesure de proposer une expérience satisfaisante à ses clients et partenaires. Pour les petites entreprises, gérer un site web ecommerce représente de nombreuses responsabilités et demande une organisation rigoureuse. 

    De son côté, l’opérateur de la marketplace ne possède pas d’inventaire ni de gestion de la logistique : son rôle consiste à mettre en relation les acheteurs avec des vendeurs tiers. Ce sont ces derniers qui gèrent directement le stock et expédient les produits. 

    La gestion d’une marketplace est donc possible sans même avoir besoin d’entrepôt. Cependant, la stratégie doit s’appliquer plus largement pour faire en sorte de mener au succès de la marketplace. En effet, il ne faut pas seulement trouver des clients, mais aussi convaincre des vendeurs de s’implanter sur sa place de marché. Par la suite, et généralement après avoir réglé des frais d’inscription, chaque détaillant en ligne est libre de déployer sa propre stratégie commerciale.

    2. Métiers

    Bien que certaines fonctions se retrouvent dans les deux activités, comme le management ou le marketing, les cœurs de métier de l’opérateur de marketplace et du e-commerçant diffèrent. En effet, le métier d’opérateur de place de marché est avant tout de trouver et d’intégrer des vendeurs sur sa plateforme, ainsi que de gérer l’acquisition de trafic sur le site. Gérer une marketplace mobilise alors plus de compétences techniques propres à l’univers du web, mais laisse de côté les métiers purement logistiques dont la responsabilité revient à chaque revendeur. 

    À l’opposé, le gérant d’un site marchand doit quant à lui se concentrer sur une multitude de métiers comme l’achat de marchandise, le support client (partie déléguée aux vendeurs dans le modèle “Marketplace”), la gestion saine de ses stocks et la prise en main de l’expédition de ses produits.

    3. Modèle économique

    La principale différence entre une marketplace et un site ecommerce réside dans leur modèle économique. Dans un schéma ecommerce classique, le gérant d’un ecommerce achète des produits, qu’il revend ensuite sur son site à un prix supérieur, afin de dégager une marge pour son activité. On peut comparer ce modèle économique à un commerce physique, le ecommerce n’ayant pas de zone géographique délimitée.

    Pour bien gérer le budget de son site ecommerce, il faut alors bien sourcer ses fournisseurs et trouver le bon équilibre entre le prix d’achat des produits et leur prix de revente. 

    De son côté, l’opérateur de marketplace peut se rémunérer de diverses manières. Le plus souvent grâce à des frais de commission qu’il prélève auprès de ses détaillants à chaque vente réalisée. Son approche commerciale est donc basée sur le volume d’affaires : plus les ventes sont élevées, plus ses revenus augmenteront. Il peut également se rémunérer grâce à des frais d’inscriptions grâce aux abonnement payés par les vendeurs.

    4. Catalogue

    Libérée des contraintes logistiques, la marketplace décentralise les stocks directement auprès de ses vendeurs. La notion de décentralisation signifie qu’au lieu de concentrer l’ensemble des stocks produits sur un seul et même espace, chaque revendeur gère sa propre place de marché : l’envoi des commandes, la gestion des retours de commandes voire des potentielles réclamations. Ce process permet d’agréger un nombre quasi infini de références, de mettre des vendeurs en concurrence sur certains produits, permettant ainsi de proposer des prix attractifs (et donc d’augmenter les ventes), et de pousser les marchands à afficher un service client irréprochable (grâce aux avis laissés par les acheteurs).

    À l’inverse, le catalogue d’un e-commerçant dépend de sa capacité à gérer et stocker ses produits. L’effort est donc beaucoup plus limité. À titre d’exemple, sur le site Amazon, roi de l’ecommerce et de la logistique, on trouve 2,8 millions de produits “Amazon”. Le reste, soit plus de 285 millions, sont commercialisés par des détaillants ayant choisi de vendre leurs produits sur Amazon

    5. Statut juridique

    Là encore, les différences sont notables entre e-commerce et marketplace. Tous deux ne dépendent pas des mêmes statuts juridiques et n’obéissent donc pas aux mêmes réglementations

    Tout d’abord au niveau de la responsabilité vis-à-vis de la loi : l’opérateur de la marketplace agit en tant que courtier, mettant à disposition une plateforme sécurisée accueillant la transaction. La responsabilité légale des produits est donc imputée au vendeur. À l’inverse, le gérant d’un site ecommerce est le responsable légal des produits vendus.

    Cette différence de responsabilité signifie que si un acheteur décide de saisir les tribunaux suite à un dommage causé par un produit/service vendu sur la Marketplace, l’opérateur est couvert : c’est le vendeur qui devra être entendu. Sur les questions juridiques, vous trouverez plus d’informations sur le site du cabinet Haas Avocats, spécialisé en marketplace.

    6. Technologie

    Si la création et le lancement d’un site e-commerce sont de plus en plus simplifiés grâce à de nombreuses technologies SaaS ou open-source (de Shopify à SAP Hybris, en passant par Magento), peu de plateformes permettent encore de créer une place de marché. 

    En effet, les CMS E-commerce ne sont pas nativement pensés “multi-vendeurs” (et tous les attributs qui en découlent : paiement, facturation, synchronisation des flux avec des SI externes, modèles de commissions, gestion logistique etc.).

    IZBERG, la solution de Marketplace de produits et de Services la plus complète du marché, répond justement à ce besoin, et équipe désormais de nombreux acteurs, comme Veepee, Suez, Telenco ou encore Label Emmaüs

    De plus, IZBERG peut être intégré en moins de 4 mois à n’importe type de technologie front-end, du CMS ecommerce au framework custom.

    Voici les principales différences entre un site e-commerce et une marketplace. Vous l’aurez compris, le pari de la marketplace est beaucoup moins risqué pour un pure-player multi-marques que le site marchand classique. Et ce mécanisme de désintermédiation connaît deux tendances fortes pour les années à venir : le secteur B2B, encore très peu digitalisé, et les plateformes de Services, permettant de réinventer des modèles économiques parfois poussiéreux.

  • Comment penser et construire sa marketplace pas à pas ?

    Comment penser et construire sa marketplace pas à pas ?

    La marketplace est un projet business avant tout

    Penser et construire sa marketplace découle d’un réel projet de transformation digitale au sein d’une entreprise. Cela demande du temps et des investissements conséquents afin d’en faire un véritable succès, sur tous les plans ! 

    « Un projet marketplace est avant tout un projet business, avant d’être un projet technologique »

    La phase de réflexion constitue la base d’un projet marketplace : le cabinet de conseil PM&CO s’est spécialisé dans ces projets de transformation digitale et plus particulièrement, en amont, lors des phases de construction de la marketplace.

    Grâce à un client commun, IZBERG et PM&CO ont trouvé matière à proposer une offre de conseil. L’objectif de cette démarche est d’accompagner la réflexion de l’entreprise afin de lui permettre de faire ses premiers pas sereinement et de construire sa marketplace et d’en faire une vraie réussite. 

    Un projet marketplace se base sur 6 grands piliers

    Parfois, certaines entreprises ont tendance à mélanger vitesse et précipitation, estimant qu’il s’agit de mettre en place une solution et d’appuyer sur un bouton pour que tout fonctionne parfaitement. IZBERG et PM&CO ont défini ensemble 6 piliers, qu’il est essentiel de regarder avec attention afin d’être sûr d’être prêt à se lancer : 

    Quelle est votre proposition de valeur ? 

    Le premier pilier est l’analyse stratégique, dans lequel nous parlerons de la proposition de valeur. Lors de cette analyse, l’objectif sera de décrypter l’ADN de votre entreprise. Quelle est sa personnalité ? En quoi se distingue-t-elle de la concurrence ? 

    Quel est le potentiel marché identifié ?

    Le deuxième pilier, toujours lié à l’analyse stratégique, est le potentiel marché. Nous partons du principe que si vous vous intéressez au modèle marketplace, c’est que vous avez estimé qu’il y avait une opportunité. Vous avez sans doute mené une étude en conséquence, et vous ayez des indicateurs qui vous permettent de dire que le marché représente une certaine taille et qu’il a donc un certain potentiel pour vous.

    Définissez votre modèle économique

    Le troisième pilier constitue le modèle économique, cela est toujours très important de pouvoir se projeter sur les sources de revenus, d’investissements, de coûts ainsi que sur des volumes de transactions qui pourraient être opérés sur la future marketplace.

    Choisissez la solution technique adéquate

    Une fois que vous avez défini votre plan d’actions d’un point de vue business, il est temps de penser au choix de la solution, qui supportera vos enjeux business et qui devra être en totale adéquation avec des derniers. 

    Établissez votre stratégie marketing 

    Une fois que votre projet est sur les rails, quelle stratégie marketing allez-vous adopter pour générer du trafic sur votre marketplace ? Avec quels leviers (SEO, SEA, etc) ? 

    Recrutez et formez vos futurs vendeurs 

    En tant qu’opérateur de marketplace, vous allez vous intéresser à l’offre qui y sera proposée afin qu’elle puisse rencontrer son marché. Pour cela, la sélection et l’onboarding de vos futurs vendeurs seront des étapes cruciales ! 

    Retrouvez le replay de notre webinar et découvrez les différentes phases de construction que nous vous proposons aux côtés de PM&CO.